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    Le soir, au coin du feu, j’ai pensé bien des fois
                                   À la mort d’un

    oiseau  quelque part, dans les bois.
                                   Pendant les tristes jours de l’hiver monotone,
                                    Les pauvres nids déserts, les nids qu’on abandonne,
                                  Se balancent au vent sur un ciel gris de fer.
                                 Oh ! comme les oiseaux doivent mourir l’hiver !
                                      Pourtant, lorsque viendra le temps des violettes,
                                 Nous ne trouverons pas leurs délicats squelettes
                                 Dans le gazon d’avril, où nous irons courir.
                                 Est-ce que les oiseaux se cachent pour mourir ?


                                                                     

                             François Copée

    P1280688

     

    Le chêne a fière allure ,
    avec sa parure dorée ,
    il a froid avec la neige
    sur ses racines ,
    il existe encore ,il a été épargné,
    juste quelques branches coupées

    mais à côté des barbelés ,
    pour délimiter un terrain
    en contrebas un fossé,surmonté d'un merlon
    et plus bas passera une déviation .
    ses amis chênes et autres ont été coupés,
    disparu aussi le pré
    ou chevreuils broutaient
    ou la nature au printemps explosait
    et moi ,j'étais heureuse ,
    je faisais la chasse aux insectes

    et au cervidés avec mon APN..
    ainsi va la vie ,la nature apaise
    quand l'âme est triste ,

     

     

     

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    LES OISEAUX

    je n'aimerai pas etre Becasse
    ni même une pie qui jacasse
    pas être un fragile oiselet
    mais être belle comme un geai
    me déployer comme une buse
    et chasser en montrant ma ruse
    mouette gourmande de poissons
    rasant à l'affût le Verdon
    me pavaner glissant sur l'eau
    cane ,fière de ses petiots
    et croiser les cygnes élégants
    qui voguent par deux ,insouciants
    être perchée sur de longs pieds
    gracile comme le héron cendré
    me nicher dans les verts feuillages
    bergeronnette au doux ramage
    aussi joyeuse qu'un pinson
    roucouler d'amour en pigeon
    en hirondelle annoncer le printemps
    porter l'habit éclatant du faisan

    bouvreuil ou fauvette me cacher
    et prendre soin de ma nichée
    colombe ,adepte de la paix
    ou mésange en plumes bleutées
    être tapie en vieil hibou
    répondre gentiment au coucou
    pas en laid corbeau qui croasse
    mais en rossignol plein de graces

    pas en merle noir indiscret
    qui passe son temps à jaser
    ni en étourneau salisseur
    qui bruyant criaille à toute heure
    en groupe ou seule fendant les airs
    grive aussi vive que l'éclair
    régaou(rge gorge en provençal)gazouillant dans les chênes
    perdreaux ,perdrix marchant en chaine
    de branche en branche me balancer
    sifflotant gaie en sansonnet
    virevolter au dessus des haies
    superbe comme un chardonneret
    monter la garde sur les toits
    moineau sautillant plein de joie
    ou chuinter le soir tombé
    comme la hulotte haut perchée

                                                           betty brune...*

     

       

     

     

     

     

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  • petit roitelet  huppé ,enfin je pense

    pas facile à prendre ,il bouge sans arrêt,

    Merci de votre visite.

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  • Des étouneaux perchés sur les fils ,le soir  en fin de jour ...

     

    Merci de votre visite.

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  • Le resto est ouvert,

    Le resto est ouvert,

    Le resto est ouvert,

    Le resto est ouvert,

    Le resto est ouvert,

    Je vous souhaite une bonne journée.

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    Le rouge-gorge
     
      Le rouge-gorge est au verger ;
    Ah ! qu'il est joli, le voleur ;
    Il ne pèse pas plus que plume Et le vent le balance à son gré
    Comme une fleur ; Ah ! qu'il est joli, le voleur de prunes.  
    Oiseau, bel oiseau d'automne, Voici l'oseille qui rougit
    Dans l'herbe, Et la feuille du poirier jaune ; 
    Tout se couvre de pourpre et de vieil or superbe
    Avant l'hiver gris.  
    Tristan Klingsor

    Merci de votre visite.

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                          Photos prises d'assez loin,elles ne sont pas très nettes.

                                        Regardez bien sur le tronc du bouleau,il se confond,

    Pivert dans le petit matin.

                                       Merci de votre visite

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    Papa et maman  surveillaient ,je pense leurs petits .

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    Le mâle est beau

    assez coloré.

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                                             Merci de votre visite

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    nature--animaux 0077

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