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Par faustine2 le 1 Février 2024 à 00:15
Ancienne maison de garde-barrière,
rénovée depuis peu ..
Ce jour là ,les grues passaient.
Merci de votre visite,
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Par faustine2 le 25 Août 2022 à 09:05
La cabane acadienne,
Les cavités des anciennes perrières de Chanteloup.
Nous avons cassé la croûte ici ..
Merci de votre visite,
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Par faustine2 le 18 Août 2022 à 00:15
Au départ de l'étang de Guesnes, ce sentier est la promesse d'un beau périple au coeur du massif de Scévolles.
Vous apprécierez les différentes étapes qui jalonnent le parcours
et vous permettent de découvrir les curiosités patrimoniales phares de la forêt :
les sentes de Fondoire, les cavités des anciennes perrières de Chanteloup, la propriété de Beaumont...
Plongé dans un véritable écrin de verdure,
vous ne manquerez pas d'observer la flore remarquable qui vous entoure dans la forêt de Scévolles.
Vous partirez également à la découverte du patrimoine ferroviaire le long de la ligne verte...
Nous prendrons la sente des accacias,une forêt
ou il faisait bon marcher ,une balade pour apprendre la nature ,le nom des arbres,
des cabanes ,des sculptures ,des jeux,tout est bien indiqué
alors protégeons cette belle nature ,elle nous le rendra.
Merci de votre visite,
sur un autre petit parcours ,une autre année ,
intéressant ..il serait bien aussi de parcourir cette forêt au printemps ,ou la nature explose ,
et à l'automne pour ses belles couleurs..
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Par faustine2 le 23 Août 2011 à 16:48
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François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848)
La forêt
Forêt silencieuse, aimable solitude,
Que j'aime à parcourir votre ombrage ignoré !
Dans vos sombres détours, en rêvant égaré,
J'éprouve un sentiment libre d'inquiétude !
Prestiges de mon coeur ! je crois voir s'exhaler
Des arbres, des gazons une douce tritesse de ces ruisseaux:
Cette onde que j'entends murmure avec mollesse,
Et dans le fond des bois semble encor m'appeler.
Oh ! que ne puis-je, heureux, passer ma vie entière
Ici, loin des humains !... Au bruit de ces ruisseauxSur un tapis de fleurs, sur l'herbe printanière,
Qu'ignoré je sommeille à l'ombre des ormeaux !
Tout parle, tout me plaît sous ces voûtes tranquilles ;
Ces genêts, ornements d'un sauvage réduit,
Ce chèvrefeuille atteint d'un vent léger qui fuit,
Balancent tour à tour leurs guirlandes mobiles.
Forêts, dans vos abris gardez mes voeux offerts !
A quel amant jamais serez-vous aussi chères ?
D'autres vous rediront des amours étrangères ;Moi de vos charmes seuls j'entretiens les déserts.
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